Prière du Notre Père puis
Mes petits-enfants. Votre Pape Jean-Paul II, en France qui vous a dit “N’ayez pas peur” Et qui vous a demandé si votre baptême avait encore une valeur pour vous, commence à déranger pour la laïcité. La laïcité ce sont ceux qui ont combattu l’Église. Ce sont ceux qui se sont battus et ont tué mes prêtres, mes évêques, qui ont tué et guillotiné votre roi. La laïcité, depuis toujours porte le crime, elle porte l’avortement. Et maintenant elle recherche à tuer les personnes : l’euthanasie. Voilà. Voilà ce qu’est la laïcité. C’est comme du temps de Robespierre, il coupait les têtes, jusqu’à temps que la sienne a été coupée puisque son maître c’est le maître de la mort éternelle. Voilà ce qu’il était : le serviteur de la Mort éternelle. Aujourd’hui celle qui est apparue à Lourdes, à la Salette, à la petite Olive. Celle qui est apparue et qui vous a donné aussi, au Laus la charité d’un Père Éternel, continue de vous appeler Français. Sachez et n’ayez pas peur et n’ayez pas crainte. Sachez que lorsque j’ai une âme qui se prête à l’ouverture de son cœur, je me donne avec mon fils et je la conduis à la purification. Et je la conduis à la charité. Sulema tourne un peu partout pour vous donner ce qui va arriver. A l’heure du Père la justice arrive. Pour l’instant, ils sont en train de chinoiser avec la croix de Jean-Paul II. On veut un Jean-Paul II décapité de sa croix. C’est ce que vous êtes devenu Français : décapités de votre baptême par la laïcité.
Aujourd’hui, moi La Mère de Dieu je vous dis ceci “Changer votre fusil d’épaule. Prenez la croix. Levez-là” Et avancez en eau profonde. Car elle est vivante. Elle vous a sauvé. Elle vous a libéré et Satan recule devant la Croix. Elle dérange la Croix, car elle est-ce qui vous a sauvé français. Abaissez vos genoux. Pliez le genou évêques de France, prêtres de France. Faites prier dans vos églises. Veillez la nuit. Priez. Ne vous laissez pas enfermer. Ne laissez pas vos églises fermées. Et vous chrétiens. Levez-vous. Arrêter d’être votre propre assassin. Arrêtez d’être votre propre perte. Arrêtez. Repentez-vous. Retournez à l’Église. Faites que je vous dis. Reprenez la parole de Dieu. Lisez les écritures. Allez voir le prêtre. Confessez-vous. Vomissez tout ce que vous avez avalé dans l’impudicité et relevez-vous. Et vous les jeunes qui avaient accompagné le Saint Père. Il ne suffit pas de parler. Il ne suffit pas de dire. Il suffit de vous lever, et de prier, de faire votre Rosaire et d’être avec lui et de chanter la gloire de Dieu. Je suis avec vous. Je vous accompagne sur ce chemin. Comme j’ai été avec mes apôtres, lorsque l’Esprit Saint est descendu. Faites des neuvaines à l’Esprit Saint. Rappelez l’Esprit Saint. Allez. Avancez en eau profonde. Prenez votre chapelet. Et n’ayez pas peur. Avancez. Avancez et vous verrez la gloire de Dieu. Nous sommes vainqueurs. Jésus a vaincu le monde. Il est rédempteur et je suis corédemptrice. Et vous de même. Alors je vous en prie. Levez-vous. Et ne laissez pas faire ce que la laïcité veut faire. A l’heure du Père vous verrez. Vous verrez comment va être combattue par la Croix, la laïcité. Vous verrez. Vous verrez comment le Père va leur donner ce qu’ils ont accueillis. Ce qu’ils ont reçu. Où la conversion ou la mort. Cela sera leur choix. Puisqu’ils veulent être Judas. Je suis la Mère du Ciel. Je suis celle qui est venu avec l’Alpha et l’Oméga. Et je viens vous dire ceci : La France appartient à Dieu. La France est la fille aînée de l’Église. Et je vais faire descendre mes Saints du Ciel et je vais faire descendre la bataille du ciel. Tout va venir et tout sera dans la Gloire de Dieu. Voilà ce que j’avais à vous dire.
Maman merci
Association «Laisse toi aimer»
HOMÉLIE DU SAINT-PÈRE JEAN-PAUL II
Le Bourget
Dimanche 1er juin 1980
Il n’y a qu’un seul problème qui existe toujours et partout: le problème de notre présence auprès du Christ. De notre permanence dans le Christ. De notre intimité avec la vérité authentique de ses paroles et avec la puissance de son amour. Il n’existe qu’un problème, celui de notre fidélité à l’alliance avec la sagesse éternelle, qui est source d’une vrai culture, c’est-à-dire de la croissance de l’homme, et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit!
Alors permettez-moi, pour conclure, de vous interroger:
France, Fille aînée de l’Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême?
Permettez-moi de vous demander:
France, Fille de l’Eglise et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’alliance avec la sagesse éternelle?
Pardonnez-moi cette question. Je l’ai posée comme le fait le ministre au moment du baptême. Je l’ai posée par sollicitude pour l’Eglise dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l’homme dont la grandeur définitive est en Dieu, Père Fils et Saint-Esprit.