Hier, mes enfants, à la télévision, vous avez vu tous les militaires qui honoraient les guerres, la guerre 14-18, la guerre 39-45, et les derniers militaires qui sont tombés au combat. Leurs noms ont été donnés. Je vais vous demander, chrétiens, tous les chrétiens, tous ceux qui se disent du nom de chrétien, de se réveiller et d’appeler le Saint-Esprit pour que le Saint-Esprit puisse leur donner ce que j’ai promis lorsque je suis montée au ciel.
Je vous ai promis d’envoyer le Consolateur, et que le Consolateur vous aurait enseigné ce que moi je suis venue enseigner, et que vous aurez fait les œuvres plus grandes que les miennes.
Il y a le respect de la vie à demander au Père. Il y a aussi l’euthanasie à demander au Père. Dieu n’a pas dit, tu tueras tes frères. Dieu n’a pas dit ce que vous dites et ce que vous pensez. Vous vous mettez à la place de Dieu, et vous vous mettez à sa place, et vous voulez faire vos œuvres.
Mais croyez-vous que je vais laisser détruire ce que j’ai bâti ?
Le Satan que vous servez et que vous aimez, parce que vous l’aimez, pour le servir comme vous le servez.
Arrêtez vos guerres. Arrêtez de détruire la terre. Pensez au réchauffement.
Pensez à ce que vous préparez. À toutes les bombes que vous préparez en douce, toutes les nouvelles bombes, et tout ce que vous préparez pour détruire l’homme, et tout ce que vous emmagasinez chez vous pour faire de la destruction.
Lorsque je vais venir vers vous, je vais venir vous donner ce que moi j’ai vu, ce que j’ai entendu. Les enfants qui appelaient au secours. Les enfants dans le ventre de leur mère qui cherchaient à ne pas mourir, et qui criaient après moi, et qui m’appelaient au secours.
Réparez. Faites donc des messes de réparation. Cherchez vraiment à changer de vie.
Cherchez vraiment à être différent. Arrêtez de pécher. Et les convoitises de la chair, arrêtez-les. Renoncez à vos vanités. Renoncez à tout ce qui vous assassine.
Je vous ai tout donné pour vous défendre. La confession mensuelle, l’eucharistie. Mon fils, lorsque la messe est faite, refait sa passion. Pour que vous puissiez vivre. Et si vous me placez dans la petite goutte d’eau, avec le monde entier pour qu’il puisse vivre, je comprends et j’agis. Priez. J’ai fait des promesses avec vos saints. Cherchez-les et recevez ce que j’ai donné.

Maintenant, priez pour que votre pays soit armé. Mais comme vous avez été désarmés par vos ministres, et qu’un jeune, s’il était appelé à la guerre, ne saurait pas se défendre, car il ne sait même pas manipuler les armes, donc combien de personnes allez-vous envoyer à l’abattoir, pour qu’ils soient tués ?
Président de la République, ministre de France, croyez-vous que je vais rigoler avec vous, lorsque je vais passer devant votre visage ?
Vous êtes responsable de vos élus. Vous êtes responsable de tout ce qui va se passer en France.
Quant aux chrétiens, je leur demanderai de prier Sainte Geneviève. Pensez à ce qu’elle a fait pendant la guerre. Sainte Jeanne d’Arc, elle est partie combattre. C’était une petite jeune.
Et maintenant, rassemblez-vous derrière ma mère avec le Rosaire, et faites le rosaire.

Je vous ai donné un rosaire avec mes archanges**, qui sont venus donner avec les anges, ce que le Père voulait donner. Ce livre est passé, mais il n’a pas été retenu, et le chapelet n’a pas été donné. Il a été repris dernièrement, alors priez-le. Priez-le, ce chapelet, lorsque vous l’avez. Priez-le, priez ce rosaire, et demandez.
Puis rajoutez ce que le Saint-Père a fait, Jean-Paul II. Rajoutez-le, on ne vous l’avait pas donné. Il n’était pas encore né, il n’était pas encore pape.
Alors je vous en prie. Mes enfants, réfléchissez. Arrêtez de vous détruire. Demandez à Dieu de vous éclairer avec le Saint-Esprit, et de transformer votre vie. Et vraiment de choisir la vérité. Méditez bien l’Exode, méditez bien l’Exode. Voilà, c’est tout ce que j’avais à vous dire. Maintenant, demandez pardon à votre Père, et la gloire de Dieu est là, pour l’amour.
Alors demandez pardon à votre Père, repentez-vous, sincèrement, allez confesser vos péchés comme ma mère vous le demande, et écoutez-la, écoutez-la. Allez en paix. Je vous aime.

** Chapelet Rosaire, très aimé de Notre Seigneur donné au messager par son bon ange, tiré du livre « Un souffle qui passe. Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui » Edition Hovine 1987.

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