Je m’appelle FRANCE

Donné par le Saint Esprit par la bouche de Danièle le 21 novembre 2015 quelques jours après l’attentat au Bataclan le 13 novembre 2015.

« Je m’appelle FRANCE.
France, a été mon nom qui a été donné, Fille aînée de l’Église.
Et aujourd’hui, mon sol est parsemé de sang, du sang de la haine, de l’ennemi de notre Père. Du sang de la haine de celui qui a fait tomber Adam et Eve et qui a couché Caïn dans la mort.
Je m’appelle France.
Et que le sang des innocents et des martyrs soit là, pour que renouvelé dans la miséricorde divine et dans le Christ, Je puisse, renaître dans l’édification que veut le Dieu vivant, celui qui a créé ma vie et qui du haut du ciel, a soif, français de votre amour.
Je m’appelle FRANCE.
Ils ont piétiné mes petits par l’avortement, les petits chrétiens qui devaient naître. Ils les ont bafoués et fouillés dans le ventre des mères par leur science et leur hypocrisie. Ils ont donné à mes petits une pilule qui ont intoxiqués leurs ventres et qui ont détruits la vie. C’est contre le Père de la création qu’ils se sont levés, les démons, qu’ils se sont levés pour vouloir créer aussi des hommes éprouvette. Ils se sont levés et ils ont bassinés leur Haine. Et ces petits, Je les ai remis à Marie, moi la France, Fille aînée de l’Église. Que l’épouse de Clovis prie pour moi et que Clovis prie aussi pour moi. Et j’appelle au secours, moi la France, au secours de tous ceux qui ont donné leur sang, pour la libérer des armées étrangères qui voulaient l’envahir. Oh du sang, il en a bien coulé sur mon sol. Et ce sang crie, crie l’abomination. Alors aujourd’hui à ceux qui ont été baptisé et qui sont devenus fils de Dieu, moi qui a été créé par le Dieu vivant, je vous demande de prier, de jeûner, d’écouter ce que la Mère, la Reine, Marie, vous a demandé à la Salette, à Lourdes, à Paray le Monial avec Jésus. Priez mes enfants. A la Chapelle Miraculeuse (Rue du Bac à Paris), tous ce que vous demanderez à cet autel, croyez que vous l’avez reçu. Alors demandez, les grâces qu’Elle donne par ses rayons, à Dieu le Père, pour que vous français, puissiez travailler à la gloire de Dieu. Et préparer la venue de sa volonté sur mon sol, et pour que puissiez vivre et être restauré. Priez, tournez la vie de Jésus sur la terre, tournez là. Et quémandez sa providence divine et avancez vers son Cœur. A Paray le Monial, allez le lui demandez. Croyez que leurs deux Cœurs sont vainqueurs, qu’Il est Roi et qu’Elle est Reine. Et que les archanges vont venir vous aider.

Je m’appelle France
Et je suis la France et je suis la fille aînée de l’Église. Et le Christ par son sang a donné sa Vie et Marie fait couler le sang de l’Agneau sur la France pour que je sois restaurée et ressuscitée avec mes enfants. Et Dieu me donne Vie. Alors enfants de Dieu, avancez, vous baptisés à prier le rosaire, à faire ce qu’Elle vous dit et à quémander à la Médaille Miraculeuse les cadeaux qu’Elle vous a offert par sa petite bergère. Allez en Paix. Je vous aime. N’ayez pas peur de ceux qui veulent vous envahir, Satan est vaincu, n’ayez pas peur, ils sont vaincus d’avance. Et leur rage parce qu’ils sont en fin de vie, qu’ils vont partir en enfer où est ce que Dieu a choisi pour eux ce qu’ils ont choisi eux-mêmes, puisque la haine ne porte pas de fruit.

L’Amour veille.

Amen. Merci Seigneur.

Contexte
Nous sommes à Ars sous Formans en l’église du Saint Curé d’Ars, une semaine après les attentats sanglants de Paris au Bataclan.
A l’inspiration du Seigneur nous participons à la fin de l’année jubilaire du 100iem anniversaire de l’entrée en sacerdoce du Saint Curé d’Ars en vue d’intercéder pour les prêtres leur Saint Patron de recevoir les grâces de la confession en perspective de l’année jubilaire de la Miséricorde décrétée par le Pape François le 11 avril 2015.
Je dépose Danièle à la chapelle devant la statue de Marie Immaculée. Cette statue a été acquise par le Saint Curé d’Ars après la proclamation du dogme de l’Immaculée conception par le pape Pie IX en 1854. Le Saint Curé a consacré sa paroisse au Cœur Immaculé de Marie. Nous avions prié en ce sens a notre arrivé à Ars pour consacré la France à son Cœur Immaculé. Le 19-11-2015.
Je repars chercher l’enregistreur ?
Je croise les personnes en retraite pour fêter en ce jour le Sacré Cœur de Jésus. Une des responsables profite de mon passage pour me donner quelques revues de son association comme elle me l’a promise.
Dans cette revue et ces prières il y a des prières pour la France. Une de Marcel Van. D’autre une prière à Marie du Pape Jean Paul II et un enseignement du pape François.
Nous lisons les prières les unes après les autres.
Puis viens l’enseignement « Je suis la France »
Après Danièle me dit que durant mon absence, cela n’arrêter pas de tourner et qu’elle entendait sans cesse « France, France » en son cœur.
Nous sommes à une semaine des attentats de Paris au Bataclan. Une retraitante Stella viendra prier pour son amie musicienne gravement atteinte de de cinq balles dont une à la tête, elle décédera d’ailleurs quelques jour plus tard fin novembre.

Prières lues


« Et Il a mis cette soif dans le cœur de Jésus. Jésus est l’accomplissement des promesses divines car Il est celui qui donne à l’homme le Saint Esprit. Eaux vives qui désaltèrent notre cœur inquiet, assoiffé de vie, d’amour et de liberté, de paix, assoiffés de Dieu. Combien de fois sentons-nous, ou avons-nous senti notre cœur assoiffé ? Il l’a révélé lui-même à la femme samaritaine rencontrée près du puit de Jacob à laquelle Il a dit : « Donne-moi à boire » (Jean 4-7). Dieu se faisant homme, a fait sienne notre soif, non seulement de l’eau, matérielle, mais surtout de la soif d’une vie pleine, d’une vie libérée de l’esclavage et de la mort. Dans le même temps, par son incarnation, Dieu a placé sa soif, car Dieu aussi a soif, dans le cœur de l’homme, Jésus de Nazareth, Dieu a soif de nous, de nos cœurs, de notre amour. Il a mis cette soif dans le cœur de Jésus, donc dans le Cœur du Christ. Dieu a soif. Et c’est dans le cœur du Christ qu’on rencontre la soif humaine, la soif divine et le désir de l’unité de ses disciples appartient à cette soif. Nous le trouvons exprimer dans la prière élevée au Père avant sa Passion. Que tous soient un (Jean 17-21). C’est ce que voulait Jésus, l’unité de tous. Le diable nous le savons est le père des divisions. Il divise toujours. Il fait toujours la guerre. Il fait tant de mal. Que cette soif de Jésus devienne toujours plus aussi notre soif. Continuons à prier, à nous engager pour la pleine unité des disciples du Christ, dans la certitude qu’il est de notre côté et nous soutiens par la force de son Esprit, pour que nous nous rapprochions de cet objectif. Et confions notre prière à l’intercession maternelle de la Vierge Marie, Mère du Christ, Mère de l’Église, afin qu’Elle nous unisse, tous, comme une bonne Mère. »

« Le signe de la parfaite réconciliation avec Dieu, avec soi-même et avec le monde. Qu’elle éduque notre espérance, la rendant patiente, courageuse, infinie. Que sa main maternelle guérisse nos blessures, causées par la violence et nous rendent pacifiques, même au prix de l’héroïsme. Alors que le malin voudrait nous pousser à la suite de Caïn, « Oh Maman, donnez-nous la vérité de Jésus Christ dans nos cœurs et dans nos vies »
Puis enseignement à 4 mn 30 s

Association «Laisse toi aimer»