Jésus : Ceux qui ont reçu le baptême, vous avez reçu, un baptême de liberté, de charité, d’amour.

Donné par Jésus, par la bouche de Danièle, le 11 janvier 2010.

(prière en langues)

Mes enfants, hier à l’Église, vous présentiez mon baptême. Jean, me voyant arriver, vit descendre sur moi la colombe, mon Père qui descendait du Ciel et qui venait me bénir et qui venait me dire : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toute mon espérance ».
Vous qui êtes pères et vous qui êtes fils, qui parfois n’êtes même pas au courant que dans les cieux un Dieu vous a créés pour sa gloire, pour sa miséricorde et pour son amour et pour vous créer selon son cœur et selon son amour et qui s’est incarné en moi, dans ma Mère, votre Reine, pour que vous puissiez recevoir cette grâce de l’onction de l’Esprit, et que le baptême fleurisse en vous dans le rachat de ma rédemption. Vous qui êtes enfants de la miséricorde, enfants de Dieu, et qui êtes là sans savoir, sans connaître, et qui vous vous laissez envahir par des ennemis purulents, qui sont le diable et ses démons et ses suppôts, qui rentrent en vous par le péché, voilà pourquoi mon Père vous a donné les commandements de Dieu pour que vous puissiez comprendre et discerner que ces œuvres qui sont contre Dieu sont contre vous-mêmes puisque c’est votre homicide assassin qui, depuis les temps, a refusé ce que Dieu voulait pour vous par amour.

Aujourd’hui, je vous appelle à vous laisser aimer. Aujourd’hui, je vous appelle à vous laisser restaurer ; et à, ceux qui ont reçu un baptême, ce n’est pas un baptême de moquerie que vous avez reçu, c’est un baptême de liberté, de charité, d’amour. C’est à vous à demander à celui qui est venu vous dire « Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toute ma confiance ». Laissez-moi vivre en vous, pour que je puisse, en vous, porter le fruit de la vie, le fruit de l’amour que mon Père vous a donné par le rachat, que j’ai pris sur moi, de vos péchés. Vous ne passerez pas devant vos dieux, devant vos illusions, devant vos faux dieux et devant votre raison quand vous voulez être les plus forts. Vous ne passerez jamais devant ces œuvres de mort qui vous assassinent et qui vous feront tomber dans la chute et dans l’enfermement de votre être négatif, qui vous aura assassinés parce que vous vous serez haïs vous-mêmes.
Aujourd’hui, je vous demande de vous laisser aimer comme la brebis dont je me sers, qui a accepté que je passe autour de moi et autour d’elle, ce que j’avais en moi à lui donner. Eh oui, mes enfants, vous devez comprendre, comprendre que vous êtes aimés et que je vous aime et vous devez vous laisser aimer sinon votre assassin, le Satan, va vous tuer.
Les convoitises de la chair vous enchaînent à devenir vraiment des abrutis pire que des animaux ; et vous avez des déviations, et parfois même les animaux vous servent tellement vous êtes devenus incroyables, mais devenus pire que des animaux. Alors je vous demande, je vous demande de vous relever. Je vous demande de vous sortir de l’ornière. Je vous demande de venir m’adorer. Venez devant le tabernacle. Assoyez-vous comme le saint curé d’Ars faisait. Reposez-vous. Et là, dans le silence, en me disant : « Fais ta volonté », je pourrai vous montrer, je pourrai vous soigner, je pourrai vous panser et je pourrai vous guérir.

C’est la semaine de l’unité des chrétiens. Chrétiens, commencez par confesser vos péchés, par ne pas omettre aucun, et puis cherchez l’unité.

Ne commencez pas à vous bagarrer parce que vous avez des divergences. Vous êtes tous des pécheurs. Celui qui dit n’avoir pas pécher est un menteur et saint Jean vous le dit. Vous êtes tous souillés par la bête car il vous hait et cherchera toujours à vous faire tomber. Vous allez déraisonner si vous le laissez vous incorporer, vous serez déprimés et dépressifs. Venez chercher l’amour, l’amour du Père, venez chercher ce que nous vous avons réservé et le royaume qui vous attend. Acceptez-le, demandez au Père de vous prémunir des œuvres de la mort éternelle. Puis, venez à moi vous tous qui peinez. Donnez-moi vos fardeaux et je vous donnerai le repos.

Regardez Sainte Thérèse lorsqu’elle prie pour l’homicide assassin qui va être guillotiné, regardez sainte Thérèse qui intercède et qui réussit à avoir la grâce qu’il m’accueille au moment de la mort. Je vais pouvoir le purifier dans le purgatoire et je vais pouvoir le sauver. Tout est possible à celui qui aime, à celui qui croit et à celui qui veut la vie éternelle, s’il s’adresse à Dieu humblement et reconnaît les torts qu’il a faits. Voilà ce que j’ai à vous dire.
Si vous êtes méchants, donnez-moi votre méchanceté. Si vous êtes avides de finance, d’argent, donnez-moi vos avidités. Si vous êtes avides de luxure, c’est la même chose, donnez-moi votre luxure, donnez-moi vos œuvres démoniaques, donnez-moi tout ce qui est en vous qui n’est pas de Dieu, même la drogue, ça n’est pas de Dieu, et cherchez l’ivresse de l’Esprit Saint, cherchez l’amour, cherchez la miséricorde. Sortez de vos aveuglements, sortez de tout ce qui n’est pas de Dieu. Venez à moi vous tous qui peinez et je vous donnerai la vie.

Allez en paix. Je vous aime. Je suis le Christ, l’alpha et l’oméga. Celui qui est miséricorde et qui veut vous donner sa vie, qui de son cœur vous a donné l’eau et le sang, l’eau qui est vous et le sang qui est la dernière goutte de mon sang, de façon à vous purifier, à vous aimer et à vous relever. Voilà.

Allez, écoutez. Écoutez et demandez à Dieu d’ouvrir les oreilles de votre âme et les yeux de votre âme et que vous soyez dans la juste lumière de l’Esprit de Vérité.

Que la volonté de Dieu s’établisse en vous. Allez en paix. Je vous aime.