Donné par le Seigneur Jésus, par la bouche de Danièle, le 19 mars 2010.
(Prière en langues)
Je me suis modernisé puisque vous dites que l’Église est souvent en arrière.
Ce que j’ai à vous dire aujourd’hui, c’est que la loi de mon Père ne va pas changer. Que vos péchés vous conduisent à être enfermés dans le carcan de haine de Satan, encore plus s’ils ne sont pas confessés, repentis et s’ils vous torturent alors que nous, nous ne pensons qu’à vous donner de l’amour. Vous ne pouvez pas vivre des choses comme vous les vivez. Vous savez très bien que vous souffrez et que c’est lourd, que vous n’arrivez pas à vous porter et que, parfois, cela vous pèse tellement que le ras-le-bol fait que votre ennemi, votre homicide assassin, vous mène à la mort éternelle.
Je viens vous appeler, non pas à du remord, mais à croire à l’amour ; à ne pas vous laisser tuer par la bête. A demander.
Osez crier. Osez quémander !
Dieu a promis que vos cœurs changeraient. Dieu a promis que vous ne serez pas impurs, que vous changerez, que même vos péchés vous les oublierez. Et moi, je vous le dis et redis, parce que je vous les ai rachetés. Mais vous devez suivre ce que Dieu vous demande : la confession de vos péchés. Acceptez l’humilité de reconnaître vos torts. En reconnaissant vos torts, la grâce tombe et la grâce vous donne la force de repartir dans la joie, dans la paix et dans la charité. Voilà, ce que je voulais vous dire.
Alors, nous avons fait un site. Parce que, d’abord, on a donné à nos prêtres ; comme il y en a qui ont eu la trouille, ils ne l’ont pas donné à l’évêque. Heureusement que le prêtre de Lourdes s’est mouillé et qu’il a donné. Voilà ce que je veux dire. Mais beaucoup n’en ont pas fait de cas. Et pourtant, ils ont vu des choses. Lorsque j’ouvrai ma bouche dans certains groupes, eh bien on faisait partir le prophète. On désirait me tuer parce que je dérange. Eh oui, je dérange.
Mais le jour où le Père aura décidé que nous venons, nous arriverons et nous vous dirons. Et vous pourrez vous planquer où vous voulez, je vous assure qu’on vous trouvera et qu’on sera face à vous. Aujourd’hui, je vous dis une chose : « Je vous ai donné un chemin. » Un chemin dans ce site, pour que vous sortiez de l’ornière dans laquelle vous vous êtes fourrés.
Si vous écoutez et si vous allez aider là-bas pour que vous puissiez reprendre ce que j’ai donné depuis 3 ans, vous avez une source qui est plus qu’une pierre précieuse et qui vaut mieux que tout l’or du monde, puisque c’est la vie pour l’éternité. Voilà.
A ceux à qui j’ai demandé d’œuvrer pour ma gloire, de rester, de travailler pour moi et qui ne sont pas venus, eh bien ils recevront aussi ce qu’ils doivent recevoir. Voilà. Alors que la gloire de Dieu soit sur vous.
Ne vous laissez pas assassiner par la bête. Jusqu’à la fin, jusque dans le passage spirituel, au moment où vous allez mourir, quand vous allez vous trouver face à moi dans l’antichambre, parce que je vous laisse 10 minutes pour vivre, il sera là l’accusateur. Si vous avez confessé vos péchés, vous n’avez rien à craindre. Mais si vous ne les avez pas confessés, il est l’accusateur, et il risque de vous assassiner si vous ne savez plus, parce qu’il vous tient. Il est en vous avec ses démons, et il vous tient raide. Son orgueil est là et sa suffisance aussi. Alors, ce que je vous demande, c’est vraiment de vous laisser sauver. Je viens vous chercher pour vous sauver. Nous avons donné notre vie, et mon Père a donné son fils, pour que vous puissiez être sauvés, sortir de la tare du péché originel, sortir des œuvres même de vos ancêtres, de découvrir cette source, comme vous dit saint Augustin dans ses confessions.
Allez mes enfants, laissez-vous aimer. Avancez en paix. Je vous aime.