Donné par le Père, par la bouche de Danièle en 2008 et communiqué à Christophe le 25 février 2010.
(Danièle à Christophe:) Ce texte est un texte que Jésus m’a donné en 2008. Comme il m’était adressé, je te le lis aujourd’hui Christophe.
Ma fille bien aimée, écoute-moi je t’en prie, trop rares sont ceux qui m’écoutent. Chacun veut penser, agir, comme il croit et comme il veut. Et c’est pour cela que le monde va à sa ruine. Et c’est pour cela qu’ils t’ont jetée.
Il y a mes lois, mais qui les observe ? Il y a mes conseils, mais qui les accepte ? Pour que la liberté soit, on se dispense d’observer la loi. La loi est la sauvegarde de l’ordre, de celui qui l’observe qui est libre. Malheur s’il n’y avait pas les lois qui règlent l’univers. Ce serait le chaos. Malheur à l’homme s’il n’était pas conduit par les lois naturelles, précises que Dieu a créées. Mais ce qui est bon pour le monde et pour l’individu sur le plan matériel l’est aussi sur le plan spirituel.
Il y a des lois formelles qui règlent l’âme dès le moment où elle vient animer le corps jusqu’au moment où, provisoirement, elle l’abandonne, pour le reprendre en vue de la vie éternelle. Les lois physiques et naturelles qui règlent l’univers conservent l’ordre. Celles qui règlent la nature humaine sont destinées à conserver et à faire accroître la vie humaine. Les lois (qui se) règlent la vie éternelle.
Si tout le monde observait la loi, l’homme jouirait d’un grand bonheur et d’une grande joie. Examine-toi fréquemment dans ce sens. Demande-toi si tu observes mes lois, les lois de Dieu. La désobéissance à la loi produit le péché qui fait de l’homme son esclave.
Vois-tu Danièle ? C’est pour cela que je te parle, et que je te donne ce que j’ai à te donner.
L’obéissance à la loi conduit à la perfection et rend l’âme libre et très chère à Dieu. Rappelle-toi que, moi-même, n’ai-je dû pas être obéissant aux lois de mon enfance, tout en étant dispensé de ces lois ? Puisque j’étais Dieu. Fais de même toi aussi. Que la loi soit la règle de ta vie.
Ne vous faites pas les défenseurs du faux amour ; et sachez discerner, dans ce que vous nommez amour pour les autres, ce qui va dans le sens du bien-être ou ce qui va dans le sens du véritable amour. Les personnes qui vivent chaque jour dans le péché ne sont pas pour autant méchantes envers leur prochain ; au contraire, elles tentent de les séduire par des idées nobles et belles en apparence, des idées de liberté, de défense des opprimés, de soutien aux minorités, de quelques ordres qu’elles soient.
Mais moi, votre Dieu, aujourd’hui je vous dis ceci : « La loi de Dieu est une loi d’amour. Elle vous a été donnée pour que vous connaissiez votre péché. »
Je viens au secours de ce que Danièle a reçu et qui était personnel pour elle. Mais j’ai appris avec cette enfant à me faire connaître, à vivre en elle, et elle connaît toutes les façons dont je me pose. Je lui ai tout donné, je lui ai appris, et elle s’est laissée aller. Les heures d’adoration qu’elle a faites devant moi ont permis que je puisse entrer dan son corps. Les larmes qu’elle a versées, depuis toute petite, avec ma Maman et avec moi, ont fait qu’on a entendu son cri. Je viens toujours pour les malheureux, je viens toujours. Tous les silences qu’elle gardait vis-à-vis des autres, parce qu’elle avait reçu de sa mère qu’elle ne devait pas porter scandale ou elle aurait eu affaire à elle. Et la peur qui l’opprimait.
Il m’a fallu guérir tout cela. Il m’a fallu vraiment la soigner. Il a fallu vraiment la mettre sur mon coeur, en la déposant dans le coeur de ma Mère. C’est dans le coeur de ma Mère que, tout doucement, elle a commencé à naître de nouveau. Lorsque je suis venu vers elle et que je me suis agenouillé devant elle j’ai fait craqué sa vieille peau. Tout ce qui était vieux, tout ce que Satan lui avait déversé, toute cette haine qu’il lui avait donnée, suite au pacte qu’on lui avait fait puisqu’on l’avait consacrée, moi j’ai tout restauré. Je suis Dieu.
Je suis celui qui est, qui était et qui vient. Et j’ai montré ma puissance. Et elle est la parole de vie que je donne. Même si vous étiez mortes, moi, je vous ferai vivre. Et je l’ai fait renaître. Oui, je l’ai fait renaître. Et ce chant où elle chantait qu’elle renaissait en moi, toute heureuse, parce que c’est vrai que je l’ai fait renaître. Et tout l’amour que je déversais dans son cœur, pour qu’elle puisse faire ses pardons, ont donné ma joie parce que j’avais vraiment un petit balai qui allait au placard quand il fallait à ceux qui me l’ont jetée.
Comme il me l’ont haïe ! Comme il m’en ont fait, comme elle disait, une vieille chaussette ! Mais moi, j’ai tout restauré et j’ai tout remis à neuf.
Je n’ai pas oublié ses larmes, pendant des jours et des jours où elle a pleuré quand elle a perdu son innocence. C’est une petite fille, une toute petite fille blessée. Vous croyez que je ne suis pas blessé quand je vois tous ces petits enfants, tous ces bébés dans le ventre de la mère, en train de chercher à vivre, à se sauver, et que l’on tue, et qu’on revient tuer ? Et qu’ont me décapite, et qu’on me met en charpie par ces avortements.
Oh mes enfants, priez, priez pour que Satan ne règne plus dans ce monde, dans cette religion de crime, dans cette religion de crime où vraiment on fait des lois qui assassinent, toutes ces lois qui assassinent. Je vous en prie mes enfants ne répondez pas à des lois d’hommes.
Tournez-vous vers l’amour et tournez-vous vers la vérité. Ne perdez pas votre âme, ne perdez pas votre âme. Agenouillez-vous devant Dieu. Demandez pardon, et revenez à la maison. Sauvez vos enfants, vous les avez tués, mamans. Mais demandez à Dieu de recommencer cette naissance. Faites-la spirituellement, et ramenez vos enfants à Marie.
Donnez-leur un nom. Donnez-leur le nom que vous auriez choisi. Et demandez à Jean-Baptiste de baptiser ces enfants. Et rendez grâce à la grâce. Et faites-les vivre, faites-les vivre du haut du Ciel. Ils vous donneront cet amour que vous n’avez pas pu leur donner et tout s’établira dans la grâce. Et la disgrâce, et les souffrances que l’assassin, l’accusateur qui viendrait vous accuser au moment du départ seront brisées. Il repartira avec sa honte. Je l’humilierai à la fin des temps. Il sera humilié.
Offrez mes plaies, offrez mon sang, offrez tout cela au Père. Et n’ayez pas peur, que l’on fasse n’importe quoi l’Église est vainqueur, j’ai vaincu Satan. Il est fichu. Il ne s’en sortira jamais.
Alors, allez-y, tournez-vous, revenez, ne vous laissez pas tuer par cet homicide assassin. Ne vous laissez pas tuer et revenez à la maison. Je vous appelle, enfants, à ce que vous écoutiez votre Mère. Je vous appelle, revenez. C’est moi votre Père qui est venu vous dire cela. Alors revenez. Mais faites ce qui est à faire. Faites ce que l’on vous demande, pour l’amour de Jésus et de Marie. Et allez en paix.
Chez Dieu il y a l’ordre. Et l’ordre doit régner selon son ordre, et selon sa volonté. Et c’est ce que je vous demande. Moi, votre Dieu, qui vient vous le demander comme Jésus a demandé à genoux à Danièle. C’est moi votre Père qui vient vous sauver.
Ah, la crédulité ! Vous pouvez choisir ce démon d’incrédulité ! Et de penser qu’elle ne reçoit pas de Dieu ! Ou ça n’est pas vendable ! Oui, vous pouvez penser tout ça.
Mais simplement, on fait pas du profit avec Dieu, tout est gratuit, et elle n’en a jamais fait. Alors voilà, maintenant, faites comme vous voulez, et vous verrez que Dieu règne quand il a choisi une âme.
Regardez Moïse, il a reçu sa fessée quand il a dû la recevoir, et il a reçu ses grâces quand il devait les recevoir aussi, car je suis un Dieu-Pardon, mais je suis un Dieu juste.
A chacun, vous recevrez votre part de pain. Ce que vous avez semé, vous le recevrez. C’est bien écrit dans les Évangiles et dans l’ancien testament. Alors cherchez à lire, à comprendre, à discerner, et si vous ne comprenez pas, l’Esprit Saint est là pour vous l’enseigner. Alors demandez et ne vous égarez pas dans des mensonges car le menteur est toujours là pour vous tromper. Et ne vous laissez pas marcher sur la tête par le démon qui ne pense qu’à rentrer dans votre esprit.
Laissez-vous aimer. Laissez-vous bercer par la consolation d’un Père, qui est Père et Mère à la fois, et que vous consolez quand vous venez. Accueillez la fête, accueillez l’alliance. Revenez mes petits. Qu’on fasse la fête dans le Ciel et qu’on se réjouisse et qu’on tue le veau gras.
Je ne veux pas la mort de mes enfants. Je vous ai donné Jésus pour toute la restauration de vos torts. Priez. Ne vous laissez pas tuer, et revenez. Et si vous êtes plongés dans un shéol, moi, je vous relève si vous me dites : « Papa, je reviens à la maison. » je vous relève, je vous soigne, je vous panse, je vous fortifie, en jésus je vous guéris.
Allez, soyez dans la joie de Dieu. Soyez dans la paix. Ne vous laissez pas envahir par ces barbares. Laissez-vous aimer. Allez en paix. Je vous aime !