Témoignage de guérison de Marie suite à la perte de son enfant lors d’une fausse couche.

Témoignage Guérir faire le deuil de la blessure de la mort d’un enfant mort-né d’une fausse couche ou d’un avortement.
Témoignage donné par Marie en 2018 pour la perte de son enfant survenu en 1969.

Par ce témoignage qui nous a été adressé, Marie témoigne du bien fait que la démarche du baptême d’un enfant mort-né a apporté, elle qui depuis près de quarante ans témoignait d’un mal être dont elle n’en connaissait pas l’origine.
Ce témoignage nous est parvenu en 2018. Marie nous parle de la perte de son enfant survenu en 1969.

Danièle a vécu l’avortement à 15 ans. Ce fut le drame de sa vie. Le Seigneur lui a enseigné le moyen d’être restauré de cette blessure.

-Demander l’aide du Saint Esprit et des Saints.
-Reconnaitre son péché et demandé un véritable repenti.
-Demander pardon au Seigneur dans le sacrement de réconciliation.
-Demander pardon à l’enfant en son cœur.
« Je suis le Dieu des vivants et non des morts » Luc 20 v38 Marc 12 v27 nous dit le Seigneur. Notre âme est immortelle, promise à la vie éternelle. Mais elle a toute la liberté de se tourner vers Dieu ou contre Dieu.
-Lui donner un prénom que l’on a dans le cœur.
-Demander à Saint Jean Baptiste du haut du Ciel de baptiser l’enfant, afin qu’il sorte « des lieux célestes » et qu’il devienne enfant de Dieu.
-On peut faire dire des messes de réparation pour nos péchés,
-Et on peut lui parler en son cœur mais toujours « Au nom de Jésus ».

-Le confier à la Maman de Jésus qu’il nous a donné pour Maman.
-Prier le Saint Esprit qui restaure, rénove tout.

Il est bon de faire cette démarche dans un groupe de prière, afin d’être soutenue.
On peut percevoir parfois à l’issue de cette démarche un mal être transitoire.
Car ce qui est entré : les esprits de morts ne sont pas forcément sortis.
Ils sont liés. Il sortiront à l’heure de Dieu. Car Dieu en sa grande sagesse est très prudent.
La parole dit que lorsque l’esprit mauvais est sorti, il cherche à revenir en force avec sept esprit plus mauvais. Matt 12 v 45, Luc 12 v 26

Cette démarche peut être faite pour tous les enfants perdus, mort avant leur naissance.

L’Eglise ne parle plus de limbes, Jésus s’adapte et parle de « lieu céleste »

Dans certains anciens sanctuaires mariaux, on peut voir ou lire que des parents apportaient leur enfant mort-né afin qu’il reçoive un baptême. Il est arrivé que certains de ces enfants reviennent à la vie le temps du baptême. Ex à Notre Dame des Vertus à Aubervilliers, au sanctuaire de Benoite Vaux près de Verdun. Il existe des sanctuaires à répit.
L’Eglise a abandonné cette pratique.

Notre Seigneur nous dit qu’il dépose une âme dès la conception.

Le Seigneur nous dit que c’est toujours le Diable qui tue. Notre Seigneur est innocent de tout le mal qui se fait. Lorsque l’on commet un péché mortel on se fait incorporer d’esprit de mort. De même lorsque l’on vit des agressions ou de fortes peurs.
Il se rencontre dès qu’il y a eu la mort d’un embryon.

En prenant la pilule du lendemain.
En posant un stérilet.
Lorsqu’il y a la mort d’un enfant au cours d’une fausse couche ou d’un avortement.
Lorsqu’une femme recours à l’implantation d’embryons et que certains meurent.

Il s’en suit un mal être qui peut conduire jusqu’à vouloir se suicider.

Cela ne semble pas tout de suite perceptible. Cela peut rejaillir des années plus tard.

Cela touche les générations suivantes, les enfants. Exode 20 « Je punis la faute des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me détestent »

Cela touche les personnes qui ont contribué à la mort de l’enfant. Le conjoint, les personnes qui ont amené au choix de la mort de l’enfant, le personnel médical…

Suivant la traduction du Littré pour le Serment d’Hippocrate médecin grec 460-377 av JC

Traduction de Littré.

« Je jure par Apollon médecin, par Esculape, Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, et je les prends à témoin que, dans la mesure de mes forces et de mes connaissances, je respecterai le serment et l’engagement écrit suivant :
…..

« Dans toute la mesure de mes forces et de mes connaissances, je conseillerai aux malades le régime de vie capable de les soulager et j’écarterai d’eux tout ce qui peut leur être contraire ou nuisible. Jamais je ne remettrai du poison, même si on me le demande, et je ne conseillerai pas d’y recourir. Je ne remettrai pas d’ovules abortifs aux femmes. »

Il sera bon de se reporter aux enseignements de l’Eglise sur le respect de la Vie.
Les encycliques de Paul VI et de Jean Paul II l’évangile de la vie, le don de la vie.

Note . Je ne suis pas théologien, mais je constate les bienfaits de ces chemins de miséricordes.
Je mets mes écris comme Saint Catherine de Sienne nous y invite dans le Sang bénis de Notre Seigneur Jésus Christ.
Veuillez prier pour moi même et pour l’association.
Christophe.

Association «Laisse toi aimer»