Donné par Jésus par la bouche de Danièle le 25 janvier 2015
Ce frère plein d’angoisse qui vient de t’appeler Christophe vit une vie dissipée. Il sait quand même ce qu’il veut. Lorsqu’il accusait Danièle en disant qu’elle lui disait des choses ( Les méfait de la masturbation) alors qu’elle ne lui disait pas, elle lui a dit une seule fois, Danièle, et elle ne le cache pas, mais elle ne lui en a jamais plus reparler. Et ce qu’elle n’a pas approuvé, Danièle, c’est que François tenait avec Patrick. On ne devait pas le lui dire. On ne devait rien lui dire. Mais la transparence divine c’est important, et on se retournait contre Danièle.
Mais moi tout ça, quand je viendrai pour l’illumination des consciences avec mon Père et l’Esprit Saint, il y en aura un d’à côté, comme il est dit dans la parole de Dieu, un d’un autre et un d’un autre, de façon à faire face à face. Et même s’ils ont peur, c’est parce que les démons sont en eux, ils les ont laissés rentrer. De toute façon, tu sais très bien Christophe, que quand on commence ce jeu-là, l’agitation vient avec. Tout à fait. Quand on regarde dans la Genèse, on voit tout de suite que le désordre est rentré dans le jardin d’Éden. Le Satan est un désordonné qui vient apporter le désordre dans la spiritualité et qui veut tuer l’âme.
Et c’est ce qu’il va faire dans beaucoup de personnes. Si ma Mère est descendue sur la terre et qu’elle est venue en Bosnie-Herzégovine, c’est parce qu’il y avait encore un peu la foi. Elle a choisi l’endroit où il y avait un peu la foi. Et c’est par la foi que Dieu vous libère du péché. Par la foi. Mais il faut encore s’en repentir et il faut haïr son péché. Mais si vous le consolez, votre péché, en vous agitant avec lui, et bien vous mourrez. Voilà ce que j’avais là à vous dire.
Si Dieu vous a donné ses commandements. Si ses commandements sont notés sur une pierre, c’est parce que vous avez un cœur de pierre. Maintenant, il faut que votre cœur devienne chair. Et pour que votre cœur devienne chair, il fallait le rachat de vos péchés. Et il fallait que je vienne. Dans les évangiles, si vous les lisez, tout est expliqué. Cela n’est pas compliqué. Alors mes enfants, laissez-vous aimer. Laissez-vous aimer. Laissez-vous servir. Lisez la parole. Vivez de la parole. Et faites confiance à la vie.
Faites confiance à l’Esprit. Et l’Esprit Saint est là, comme je l’ai dit aux apôtres, allez, attendez, priez, et je vous enverrai le consolateur. Et bien pour vous c’est pareil. Regardez, quand je suis à Sychar, quand je suis près de Marie-Madeleine, Euh, près de la Samaritaine, pas Marie-Madeleine, à Sychar. Quand je suis à Sychar, c’est au puits de Jacob. Cette femme qui vient, une femme maquillée, elle vient chercher de l’eau.
Et elle vient pendant les heures du midi, alors que la chaleur est là, alors qu’il fait très chaud, et que normalement dans ces pays-là, c’est la sieste. Parce qu’elle est critiquée, pour sa vie qui est désordonnée. Et je suis au puits, et je lui dis : « Donne-moi à boire ». Elle est étonnée. Comment, moi, un juif, je puis lui demander à boire, à elle qui est Samaritaine, car ils ne se parlent pas, les Juifs et les Samaritains. Ils n’ont pas la même écoute pour la Divine Providence.
Alors elle me le dit, et puis nous conversons, et je lui dis : « Va chercher ton mari » Et elle me sort sa pauvreté. Elle me donne sa pauvreté : « Je n’ai pas de mari » Je lui dis : « Tu as raison, et celui qui est avec toi à l’heure actuelle, n’est toujours pas ton mari ! » Et je lui dis que je peux lui donner à boire. Je peux lui donner à boire.
Et elle me dit : « Alors toi tu peux me donner, le puits de Jacob, depuis qu’il est là, et toi tu vas me donner à boire ? ». Et je lui réponds : « L’eau vive que je te donnerai, avec cette eau vive, tu n’auras jamais plus soif ». Parce que l’eau vive que je lui donne, et que je te donne, et que je donne à Daniele, et que je donne à Patrick, s’il sait la prendre, c’est le Saint-Esprit, et c’est mon Saint-Sacrifice, qui s’est donné au Père sur la croix. Et quand je suis venue sur terre, je suis déjà dans la grâce, puisque tout va être accompli, il va s’établir, mais tout doucement, dans ce cheminement qui s’établit. Cela se fait dans un ordre.
Vous allez vivre l’apocalypse de Saint-Jean, c’est à vous de vous prémunir. C’est à vous de demander. Et c’est à vous de demander la force et la puissance. Et si vous étiez unis. Si l’unité était chez vous, Satan cherche à vous diviser. Un curé d’Ars, il y en aurait eu deux comme lui Satan serait mort. Il le dit.
Vous êtes dans l’année sacerdotale du Curé d’Ars, où il y a un jubilé. Alors faites comme lui, curés. Vous avez ma puissance dans votre sacerdoce. Si vous vous mettez à l’écoute du Saint-Esprit, vous vivrez. Mais vous vivrez. Et vous vivrez ce que vous devez vivre, de ce que Dieu a créé pour vous. Vous porterez du fruit, et du fruit de Vie.
Mais accueillez donc aussi les prophètes que je vous envoie. Ne les jetez pas. Ne leur racontez pas n’importe quoi. Ne faites pas de scepticisme. Arrêtez vos bêtises humaines. Ecoutez avant de rejeter. Entendez avant de critiquer. Voilà ce que j’ai à vous dire. Et si vous perdez. Et si les choses arrivent, alors que vous aviez tout dans vos mains. Quand je vous ai envoyé Mélanie, et que vous avez rejeté Mélanie. Vous trouvez que… Quand je vous ai envoyé Jeanne d’Arc, et que vous avez brûlé Jeanne d’Arc. Eh bien voilà. Alors tout ce que… Quand vous avez coupé la tête, au roi de France, vous croyez que c’est le respect de Dieu tout cela ? Vous pensez France, que vous ne devez pas vous repentir. Il faut arrêter.
Il faut arrêter vos bêtises humaines. Et quand vous dites « A moi la liberté », « Les femmes, sont libres » Oui. Oui, Saint Paul vous le dit, Saint Paul vous dit que vous avez la liberté. Mais vous ne pouvez pas tout faire. Vous avez la liberté d’appartenir au Christ, pour qu’il soit votre serviteur, et qu’il fasse de vous des saints. Parce qu’il a racheté le péché, mais pas la liberté de péché, pas la liberté de frelater Satan. Non. Vous devez vous éloigner, de celui qui vous assassine. Mais c’est votre choix. C’est votre choix. Le choix de la vie, c’est d’aimer, c’est de vous laisser fleurir, c’est de connaître votre Père. J’allais à l’écoute de mon Père, tous les matins. Le soir je me retirais, pour lui remettre la journée, et je repartais à l’écoute de mon père, et puis j’allais me reposer très tôt. N’allez pas vagabonder la nuit. C’est là que les démons sortent. Et c’est là que vous vivez la mort. Eloignez-vous des choses de la nuit. Et cherchez le calme, et la sérénité, près de Marie, votre Mère. Cela ne sert à rien, d’aller faire des choses, qui ne sont pas de Dieu, Dieu prendra votre défense, en toute chose. Il a des anges. Il a des archanges. Priez-les. Intercédez les archanges. Demandez qu’ils viennent vous aider. Priez les saints qui ont fini leur chemin, qui sont déjà arrivés. Intercédez. Quémandez, et vous recevrez. Frappez, et l’on vous ouvrira. C’est ce qu’il vous est dit dans la parole.
La parole est vivante. C’est une action de grâce.
Les psaumes : les 150 psaumes que vous aviez, dans le missel catholique, dans l’ancien missel. Ces 150 prières, qui étaient dans le missel, sont la Vie. Je méditais les psaumes. J’étais un juif, qui suivait la loi, seulement j’ai amené, ce que mon père avait donné, l’Amour.
Parce que si vous vous servez de la loi, pour en faire, vraiment, à des personnes, de la méchanceté. Que les gens s’autodétruisent et meurent. C’est ce que je disais aux pharisiens. Non, ce n’est pas cela que Dieu a voulu. Pas de se croire supérieur aux autres. Pas de se croire, d’avoir des prestances, de s’habiller avec des beaux vêtements, et de ne pas avoir de cœur. De passer pour paraître, alors que vous devez disparaître. Cherchez véritablement l’écoute à la vérité de Dieu.
Cherchez vraiment. Et si vous êtes prêtre, alors vous êtes prêtre pour pardonner. Vous n’êtes pas prêtre pour laisser le péché s’amasser, vous êtes prêtre pour pardonner. Voilà.
Et si j’ai donné, le Curé d’Ars comme prête, comme patron de tous les prêtres, c’est pour qu’il prie pour vous et que vous recevez ses grâces. Mais ses grâces : c’est demander l’esprit de courage, et puis l’esprit de service, et surtout, demander à Dieu, qui vous donne la force, de vivre par l’esprit, l’adoration, l’oraison. Si vous ne faites pas d’oraison, comment voulez-vous, comment voulez-vous vivre ? Le monde vous tue, donc si vous servez le monde, vous ne servez pas Dieu. Voilà. Vous n’êtes pas fait pour servir le monde. Vous êtes fait, pour chasser le monde, qui sont les démons, et qui sont les œuvres du diable, pour les renvoyer dans leurs enfers. Et c’est ce que je viens faire bientôt. Ce n’est pas la fin du monde. C’est la fin d’un royaume, qui est celui de Satan. Les anges vont venir le chercher, vont venir l’enfermer, et vont venir le neutraliser. Et après, je vais bâtir, avec les nouveaux cieux, la nouvelle terre, la volonté de mon Père. Je reviens. Je reviens bientôt, très bientôt. Et je serai là, pour glorifier mon Père. Car c’est pour lui que je suis venue, pour qu’on le respecte, pour qu’on l’aime, pour qu’on le connaisse, et pour qu’il vous rencontre pleinement. Dans la parole de Dieu il y a : Si vous nous ouvrez vos cœurs, on vient habiter avec vous, et on mangera avec vous. Alors voilà. Vivez de la parole. Vivez de l’Eucharistie. Vivez du mystère mystique, et cherchez à découvrir, à le comprendre, à le discerner, c’est cela ma volonté. Allez en paix. Je vous aime. Vous êtes mes petits. je vous aime. Demandez, vous recevrez. Frappez et l’on vous ouvrira.
Et n’ayez pas peur. Et n’ayez pas peur. La mort, pour vous, c’est un passage. Un passage de Pâques. Comme moi, vous devez perdre la vie, pour aller vers la Vie, l’éternité.
A Medjugorje, par les voyants, vous avez tout reçu. La Mère est venue. Elle a emmené les voyants (au ciel), pour qu’ils vous donnent. Et bien cherchez, vous trouverez. Et ne vous laissez pas tuer par l’ennemi.
N’écoutez pas les fausses religions. N’écoutez pas les faux prophètes. Cherchez la vérité.
La vérité vous l’avez en vous. Et n’imposez pas, votre volonté. Haïssez ce que vous avez aimé, qui est la mort éternelle, et haïssez votre péché, qui vous a tué, et renoncez, à vos fredaines. Regardez mes saints. Regardez Camille de Lessis. Regardez mes saints et puis regardez… Regardez, vous verrez. Je suis allé les repécher. Les jésuites. Je suis allé repécher Saint Ignace. Je suis allé l’enseigner, et il a continué. Et toi Danièle. Oui Père.
A la première retraite, que tu as faite avec le Père Guédan. Que lui as-tu dit ?
-Et bien à la fin j’ai dit, Saint Ignace, il avait été enseigné comme moi par Jésus, voilà, je lui ai dit.
Oui Daniele, je t’ai donné ce que j’ai donné à Saint Ignace de Loyola. Je sais Jésus, je sais, merci Seigneur.
C’est le chemin, quand on suit vraiment Saint Ignace, et qu’on obéit et qu’on suit, et bien comme le Père Poulet SJ, on part au paradis, voilà, voilà mon enfant.
-Gloire à toi Seigneur Jésus. Merci Seigneur. Amen. C’est tout, il redescend, merci mon bien-aimé, c’est vrai que c’est beau, c’est très beau, il faudra me le donner,
-Tu sais que je peux te le mettre sur ta télévision, merci Seigneur
Information sur le Jubilé reprise sur le site du diocèse de Lyon
Bicentenaire d’ordination de saint Jean-Marie Vianney (Ars)
A l’occasion de l’ouverture du bicentenaire des ordinations de saint Jean-Marie Vianney, le cardinal Philippe Barbarin présente, sur la web TV / lyon fourvière, les événements qui jalonneront cette année jubilaire dans les diocèses de Lyon, Belley-Ars et Grenoble.
Un premier rendez-vous est donné dimanche 8 février, à 11h, à l’église Notre-Dame de la Miséricorde, à Ars, pour la Messe solennelle d’ouverture du jubilé du Curé d’Ars.
Association «Laisse toi aimer» www.laissetoiaimer.fr